La version française suit

(Photo: Homes under construction in the Westwood subdivision in Stittsville.)

Here’s a sample of your feedback so far about community amenities:

There aren’t enough community services, such as schools, doctors, community activities.”

“The schools in the area are already at capacity and adding this many new residents would not help this problem.”

“There are no family doctors in Stittsville [so this] will only overburden the already taxed Queensway-Carleton Hospital’s emergency department.”

Where will the kids go to school? Area schools are full.”

“A development of 431 units … may strain local services, schools, and transportation networks, negatively affecting residents’ quality of life.”

Whether it’s over 400 new apartments, or 400 new homes in a low-rise neighbourhood, these are all valid concerns.

Every year in Ottawa, more people are competing for existing services. Swimming lessons fill up faster, classrooms get more crowded, and emergency room wait times get longer.

There is a clear need for more housing in our province but we have seen very little commitment from the provincial and federal governments to support the growth that they demand from municipalities. We need more funding for infrastructure and amenities but provincial and federal leaders are explicitly telling cities that they will be cut off from funding if they don’t allow growth.

Ottawa urgently needs another source of money to help build the roads, transit, libraries, recreation centres and everything else that makes a healthy community. We’re falling behind and rising construction costs are making the problem worse.

In Ontario, city infrastructure in new communities is funded primarily through Development Charges (DCs) added to every new home and apartment. A new single home in the suburbs gets a development charge of $51,376; a townhome $40,296; a two-bedroom apartment $27,615.  This is the equivalent of nearly ten years of property taxes on the average home.

These charges are paid up front by new home owners and carried on their mortgages for years. Older neighborhoods have their own infrastructure deficits but increasing property taxes to pay for growth-related infrastructure is not only unpopular, it creates its own equity and affordability problems.

At current DC rates, 431 new apartments in Stittsville would contribute at least $10-million towards new roads, transit, libraries, emergency services and so on.

The builder will also be required to pay a “Cash-in-Lieu of Parkland” fee to be used towards upgrades of local parks and recreation services, and a Community Benefits Charge to be used on local improvements, for example upgrades to Stittsville Main Street. These fees combined will amount to several hundred thousand dollars.

So what else can be done?

  • Ottawa is joining other cities in this call for more money. The Federation of Canadian Municipalities is advocating for a new Municipal Growth Framework to ensure healthy, equitable, and thriving communities. The Association of Municipalities of Ontario is also pushing the provincial government for changes.
  • Your voice makes a difference! I encourage residents to call or email their MP and MPP and ask: “How will your government help fund cities so that they can support population growth with the required infrastructure and community services?

 

It is possible!

Toronto just received a ton of money from the provincial and federal governments to help with its budget shortfall. Ottawa – a city of over a million people, growing soon to be 1.5-million people – also needs federal and provincial support for things like transit, climate change, emergency services, social services, schools, and healthcare.

Next in this series

(There’s a development information meeting planned for February 20 about this application, and I welcome your questions and comments at glen.gower@ottawa.ca. You can also contact the planner at Sarah.Ezzio@ottawa.ca.)


 

6310, chemin Hazeldean : écoles, médecins et autres installations pour soutenir la croissance (partie 6)

(Photo : Maisons en construction dans le lotissement Westwood, à Stittsville.)

Voici un échantillon des commentaires que vous avez formulés jusqu’à présent au sujet des installations communautaires :

« Il n’y a pas assez de services communautaires, tels que des écoles, des médecins, des activités communautaires. »

« Les écoles de la région sont déjà saturées et l’arrivée d’un si grand nombre de nouveaux résidents n’arrangerait pas les choses. »

« Il n’y a pas de médecins de famille à Stittsville [et cela] ne fera que surcharger le service d’urgence de l’Hôpital Queensway-Carleton, qui est déjà submergé. »

« Où les enfants iront-ils à l’école? Les écoles de la région sont pleines. »

« Un développement de 431 unités… pourrait peser sur les services locaux, les écoles et les réseaux de transport, ce qui aurait des répercussions négatives sur la qualité de vie des résidents. »

Qu’il s’agisse de 400 nouveaux appartements ou de 400 nouvelles maisons dans un quartier de faible hauteur, ces préoccupations sont toutes valables.

Chaque année à Ottawa, de plus en plus de personnes se disputent les services existants. Les cours de natation se remplissent plus rapidement, les salles de classe sont plus encombrées et les temps d’attente aux urgences s’allongent.

Notre province a clairement besoin de plus de logements, mais les gouvernements provincial et fédéral ne se sont guère engagés à soutenir la croissance qu’ils exigent des municipalités. Nous avons besoin de plus de fonds pour les infrastructures et les installations, mais les dirigeants provinciaux et fédéraux disent explicitement aux villes qu’elles seront privées de financement si elles ne favorisent pas la croissance.

Ottawa nécessite de toute urgence une autre source d’argent pour construire les routes, les transports en commun, les bibliothèques, les centres de loisirs et tout ce qui participe à la santé d’une collectivité. Nous prenons du retard et l’augmentation des coûts de construction ne fait qu’aggraver le problème.

En Ontario, l’infrastructure urbaine des nouvelles communautés est principalement financée par les redevances d’aménagement ajoutées à chaque nouvelle maison ou nouvel appartement. Une nouvelle maison individuelle en banlieue est assortie d’une redevance d’aménagement de 51 376 $, une maison en rangée, de 40 296 $ et un appartement de deux chambres, de 27 615 $. Cela équivaut à près de dix ans d’impôts fonciers pour une maison moyenne.

Les nouveaux propriétaires payent ces redevances à l’avance, qui sont inscrites sur leurs hypothèques pendant des années. Les quartiers anciens ont leurs propres déficits en matière d’infrastructures, mais l’augmentation des impôts fonciers pour financer les infrastructures liées à la croissance n’est pas seulement impopulaire, elle crée aussi ses propres problèmes d’équité et d’accessibilité.

Aux taux actuels des redevances d’aménagement, 431 nouveaux appartements à Stittsville contribueraient à hauteur d’au moins 10 millions de dollars à la construction de nouvelles routes, de nouveaux transports, de nouvelles bibliothèques, de nouveaux services d’urgence, etc.

De plus, le constructeur devra payer une taxe du règlement financier des frais relatifs aux terrains à vocation de parc qui servira à améliorer les parcs locaux et les services de loisirs, ainsi qu’une redevance pour avantages communautaires qui servira à financer des améliorations locales, par exemple l’amélioration de la rue Stittsville Main. L’ensemble de ces frais s’élèvera à plusieurs centaines de milliers de dollars.

QUE PEUT-ON DONC FAIRE D’AUTRE?

  • Ottawa se joint à d’autres villes pour demander plus d’argent. La Fédération canadienne des municipalités plaide en faveur d’un nouveau Cadre de croissance municipale pour garantir des collectivités saines, équitables et prospères. L’Association des municipalités de l’Ontario fait également pression sur le gouvernement provincial pour que des changements soient apportés.
  • Votre voix fait la différence! J’encourage les résidents à appeler ou à envoyer un courriel à leur député fédéral ou provincial pour leur demander : « Comment votre gouvernement va-t-il aider à financer les villes pour qu’elles puissent soutenir la croissance de la population avec les infrastructures et les services communautaires nécessaires? »

C’EST POSSIBLE!

Toronto vient de recevoir une somme d’argent considérable des gouvernements provincial et fédéral pour l’aider à combler son déficit budgétaire. Ottawa – une ville de plus d’un million de résidents, qui passera bientôt à 1,5 million de résidents – a également besoin du soutien des gouvernements fédéral et provincial dans des domaines tels que les transports en commun, les changements climatiques, les services d’urgence, les services sociaux, les écoles et les soins de santé.

À SUIVRE DANS CETTE SÉRIE

(Une rencontre d’information sur ce projet d’aménagement est prévue le 20 février. N’hésitez pas à envoyer vos questions et vos commentaires à : glen.gower@ottawa.ca. Vous pouvez aussi envoyer un courriel à l’urbaniste à : Sarah.Ezzio@ottawa.ca.)