Le français suit
Transparency builds trust.
The secrecy around the procurement process for Stage 2 LRT is a good example of the opposite: a lack of transparency breeds distrust, fuels rumours and speculation, and is a poor way to engage the public in important civic discussions.
There are some very good reasons why details about the procurement process for Stage 2 LRT weren’t made public before we voted on it in March: ensuring a fair competitive process; procurement law; privacy and confidentiality rules; and (most of all) direction from the previous batch of councillors who approved the rules for delegation of authority and reporting back to Council.
Last week, City staff shared a number of documents related to the procurement of LRT Stage 2, including the RFP documents and final contracts as well as a memo from the City Manager outlining how the procurement process worked and what was covered under delegated authority.
I still believe that Stage 2 LRT is a good investment for our city’s future, just as I did back in March. I’m confident that the procurement was a fair and complete process that, in the end, provides the best value for the City and residents.
But the lack of transparency only leads to more cynicism and skepticism about the entire Light Rail project. More broadly, it’s leading some residents to question how the City and City Council operates.
Going forward City Council needs to do more to be as transparent as possible, on big decisions and on small ones, so that residents have confidence that our city is being governed fairly and competently. Things like the Routine Disclosure and Open Data initiatives are a start, but clearly there’s more work to be done to rebuild that trust.
I know some residents still have questions about how the procurement and scoring worked for Stage 2. I would encourage you to take some time to read the City Manager’s memo – particularly the answer to Question 6, or read this article from the Citizen that provides a good summary of the process. You can also contact me if you have any questions.
Carnet du conseiller : Transparence et confiance
La confiance repose sur la transparence.
Le mystère qui règne autour du processus d’approvisionnement pour l’Étape 2 du projet de train léger est un bon exemple du contraire : du manque de transparence naissent la méfiance, les rumeurs et les spéculations, et c’est là une piètre façon d’inclure le public dans les discussions importantes concernant la ville.
Les détails entourant le processus d’approvisionnement pour l’Étape 2 du projet de train léger n’ont pas été rendus publics avant le vote de mars pour plusieurs bonnes raisons : l’équité du processus concurrentiel, le droit des marchés publics, les règles sur la vie privée et la confidentialité et, la dernière et non la moindre, les directives du groupe de conseillers précédents qui ont approuvé les règles pour la délégation de pouvoirs et les comptes rendus au Conseil.
La semaine dernière, le personnel municipal a publié des documents sur l’approvisionnement pour l’Étape 2, dont les demandes de proposition et les contrats concluset unenote de service du directeur municipalqui explique comment s’est déroulé le processus d’approvisionnement et ce que visaient les pouvoirs délégués.
Je suis toujours d’avis que l’Étape 2 est un bon investissement pour l’avenir de notre ville, tout comme je l’étais en mars. Je suis persuadé que le processus d’approvisionnement était juste et complet et qu’en fin de compte, il offre le meilleur rapport qualité-prix pour la Ville et les résidents.
Toutefois, le manque de transparence ne fait qu’exacerber le cynisme et le scepticisme entourant le projet de train léger dans son entièreté. De façon plus générale, il mène certains résidents à se questionner sur les méthodes de gestion de la Ville et du Conseil municipal.
À l’avenir, le Conseil doit s’efforcer d’être le plus transparent possible, qu’il s’agisse de petites ou de grandes décisions, pour que les résidents soient assurés d’une gestion juste et compétente de la ville. Les initiatives comme la divulgation systématique ou les données ouvertes sont un bon début, mais il reste du chemin à faire pour que la confiance se réinstalle.
Je sais que certains résidents s’interrogent toujours sur le processus d’approvisionnement et de notation de l’Étape 2. Je vous invite donc à prendre quelques minutes pour lire la note de service du directeur municipal – plus particulièrement la question 6 – ou cet article de l’Ottawa Citizen (en anglais seulement), qui résume bien le processus. Vous pouvez aussi communiquer avec moi si vous avez des questions.