(PHOTO: A recycling bin placed in the middle of the sidewalk is a small obstacle that can have a big impact for people with mobility challenges.)

Le français suit

On Wednesday, I joined several of my City Council colleagues in the #Ottawa24hrAccessibilityChallenge. The challenge: spend a day avoiding anywhere that is not accessible, including anywhere with stairs, and not using the washroom anywhere that does not have an accessible one. Detail your day on Twitter as you go, noting any barriers we come across.

The point of the exercise is to recognize barriers that exist, the effects of those barriers, and what can be done to fix them.

I documented my commute to and from Stittsville to City Hall, as well as my day at the office.  (It was a quieter day than usual but it did include an errand on Somerset Street.)

My takeaways:

  • We need better promotion of available funding and programs (including organizations like StopGap) to local business for improving accessibility.
  • I had many interesting replies from people reading my tweets that provided good feedback and perspectives. We need to be more deliberate in seeking out these voices/experiences in consultation on city programs and services.
  • This initiative opened my eyes to a lot of things but I’m certain I missed a ton of barriers (visible and invisible) that weren’t obvious to me.

A big thank you to Stopgap Ottawa for encouraging me and my council colleagues to take part in this. You can check out more of the photos and reports under the hashtag #StopGapOttawa24hrAccessibilityChallenge

 


Carnet du conseiller : participation au défi 24 heures sur l’accessibilité de StopGap

(PHOTO : Un simple obstacle comme un bac de recyclage au milieu du trottoir peut donner du fil à retorde aux personnes à mobilité réduite.)

Mercredi dernier, j’ai participé avec plusieurs de mes collègues du Conseil municipal au défi 24 heures sur l’accessibilité à Ottawa (#Ottawa24hrAccessibilityChallenge). En quoi consiste ce défi? Éviter pendant une journée d’aller dans les endroits qui ne sont pas accessibles, notamment ceux qui n’ont que des escaliers, et aller uniquement aux toilettes dans les endroits qui ont une toilette accessible. Il faut ensuite rendre compte de sa journée sur Twitter, en notant tous les obstacles rencontrés.

Le but de l’exercice est de prendre conscience des barrières qui existent et de leurs conséquences, et de réfléchir à ce qui pourrait être fait pour les éliminer.

J’ai fait un compte rendu de mes déplacements entre Stittsville et l’hôtel de ville, et de ma journée au bureau. (Ma journée était plus tranquille qu’à l’habitude, mais j’ai quand même dû faire une course sur la rue Somerset.)

Ce que je retiens de l’expérience :

  • Il faut mieux promouvoir les programmes (comme l’organisme StopGap) et le financement offerts pour améliorer l’accessibilité auprès des entreprises locales.
  • J’ai reçu de nombreuses réponses à mes gazouillis sur Twitter qui comportaient des commentaires et points de vue des plus intéressants. Nous devons faire des efforts conscients pour faire entendre ces voix et ces expériences lors des consultations sur les programmes et services municipaux.
  • Cette initiative m’a ouvert les yeux sur beaucoup de choses, malgré le fait que de nombreuses barrières (visibles et invisibles) m’auront sûrement échappé.

Un grand merci à StopGap Ottawa de nous avoir encouragés, mes collègues et moi, à participer à ce défi. Pour voir plus de photos et de comptes rendus de la journée, utilisez le mot-clic #StopGapOttawa24hrAccessibilityChallenge.